Wiki Les Légendaires
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Les Marakas forment une tribu de femmes guerrières, originaires de l'île de Caratéca dans l'archipel de Palágapos. Lorsque les dieux étaient encore présents sur Alysia, elles vivaient dans une cité souterraine avec les Horboriens[1]. Elles se distinguent en combat grâce à leurs nattes se terminant par des crochets ainsi que leurs majakaïs, des bâtons aux capacités extensibles. Elles vénèrent la déesse des deux lunes[2].

Elles apparaissent dans le tome 13 de la série principale (et dans les tomes 14 et 19 en flashbacks), dans les tomes 1 et 2 d'Origines et dans le tome 2 d'Odyssée.

Description[]

Apparence physique[]

Les Marakas ont une peau sombre, et les cheveux sombres (bruns ou noirs). Elles ont de petites oreilles pointues. Les Marakas sont bel et bien humaines, mais elles sont issues d'une ethnie dont les origines se sont perdues avec le temps, se caractérisant notamment par la présence de petites oreilles pointues[3].

Capacités[]

En théorie, les Marakas ont les mêmes prédispositions physiques que les autres humains. Cependant, étant formées dès le plus jeune âge au combat, ce sont des tueuses redoutables, maîtrisant toutes les meilleures techniques et styles de combat d'Alysia[4].

Les guerrières Marakas portent une longue tresse au bout de laquelle pend une boule entourée de pinces tranchantes. Elles utilisent leurs cheveux comme une arme mortelle, capable de transpercer des hommes et des bêtes. En temps normal, cette tresse est portée entourée autour de la taille.

Culture et mode de vie[]

Tome 19 - Entrainement Marakas

Le village des Marakas

Les Marakas sont originaires de l'île de Caratéca, au climat tropical, et vivent dans des villages simples, avec des huttes en bois[5]. L'entraînement des guerrières est extrêmement rigoureux, et, à la fin de leur période de formation, elles se voient offrir un majakaï, un bâton aux propriétés magiques[6]. Seules les femmes sont formées au combat et vivent en communauté. En revanche, les femmes originaires d'autres peuples ne semblent pas exclues, celles-ci pouvant être formées si elles le souhaitent véritablement[5]. Elles utilisent parfois des scarabtères lors de leur combats[7].

La souveraine des Marakas est choisie lors du Conseil des femmes, il ne s'agit donc à priori pas d'une monarchie où le titre est passé de mère en fille[8].

Les Marakas vénèrent la déesse des deux lunes, et lui vouent beaucoup de rituels[2].

On sait qu'elles sont "achetées" (donc on peut imaginer qu'elles soient vendues au même titre que de la marchandise, ou qu'elles se louent comme des mercenaires)[9], suggérant donc que certaines Marakas ne reviennent jamais sur l'île lorsqu'elles la quittent pour voyager, comme beaucoup le font[10].

Reproduction[]

Les hommes n'ont pas leur place dans la communauté Marakas, ce qui par ailleurs les opposent encore une fois à leurs voisins horboriens qui sont très patriarcaux. Officiellement, elles voyagent beaucoup une fois adultes et rencontrent des hommes en voyage, tombent enceintes et reviennent chez elles. Cependant, des rumeurs évoquent des kidnappings de voyageurs ainsi que l'utilisation de potions qui leur permettraient de ne donner naissance qu'à des filles[10].

Histoire[]

Avant Jovénia[]

Ère des dieux[]

Lorsque les dieux vivaient encore sur Alysia et Astria, ils gouvernaient les peuples qu'ils avaient créés. À cette époque, les Marakas vivaient en harmonie avec le peuple des Horboriens au fond d'une arche naturelle enfoncée dans l'océan, au niveau d'une cité qui est en réalité un navire céleste, l'archipel des Palágapos, dirigé par le dieu Solarum et la Déesse des deux lunes[11]. Cependant, lorsque les dieux quittent les mondes qu'ils ont créés, ceux vivant dans cette cité ne parviennent pas à faire décoller celle-ci et décident de la submerger par les eaux, ne laissant que les îles de Kasimos, Caratéca et Horbor à la surface. Les Marakas ont été délocalisées sur Caratéca et les Horboriens sur Horbor. Au passage, les dieux ont utilisés un sortilège pour effacer la mémoire de ces peuples[1].

Au fil du temps, les deux peuples vivent sans véritables contacts en dehors de quelques tensions ou bien de quelques endroits qu'ils coadministrent[12].

World Without[]

Faux souvenirs[]

Amy, ancienne princesse d'Orchidia, intègre le village des Marakas et s'y entraîne durement. Elle y gagne un majakaï[5].

Après la fin de Jovénia[]

Odyssée : Le mystère de Kasimos[]

Un jour, la princesse Eskiza, fille de la reine Tiwonda, disparaît en compagnie du prince horborien Gomor. Ils trouvent la cité divine de leurs ancêtres et activent le mécanisme qui fait descendre Kasimos dans les profondeurs. Cela provoque des tensions entre Caratéca et Horbor, avec un potentiel risque de guerre. Cela inquiète le Conseil des Royaumes Unis qui dépêchent les Légendaires d'intervenir. Ceux-ci parviennent à rétablir la paix entre les peuples en retrouvant les héritiers royaux et en faisant remonter à la surface l'île de Kasimos.

Liste des Marakas connues[]

Monde originel[]

World Without[]

Notes[]

  • Marakas est une référence aux maracas, des instruments de percussion.
  • Les Marakas sont inspirées des Amazones, un terme générique désignant un peuple de femmes guerrières, vivant durant l'Antiquité.
  • Il a existé une race humaine dotée d'oreilles pointues et dont les Marakas, ainsi que d'autres personnages de la série (Byskaros, Sydonis, El Diablo, Tésoura), descendent. Cependant, leurs origines se sont perdues avec le temps[3]. Ainsi, contrairement à ce qui avait été pensé durant un moment, les Marakas ne sont donc pas issues de métissage entre des humains et des Elfes.
  • Le statut de "peuple de femmes guerrières" que les Marakas ont, combiné au fait qu'elles voyagent de par le monde pour trouver un homme avec lequel elles conçoivent un enfant[10], rappelle très fortement les Gerudos de la licence The Legend of Zelda, en particulier telles qu'elles ont été représentées dans les jeux Breath of the Wild et Tears of the Kingdom, où elles quittent leur cité pour trouver un partenaire avec lequel avoir un enfant. De plus, que cela soit pour les Marakas ou les Gerudos, les hommes sont interdits d'entrer dans la cité.

Références[]

  1. 1,0 et 1,1 Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), pages 142/143.
  2. 2,0 et 2,1 Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), page 102.
  3. 3,0 et 3,1 Livre d'or du 26/04/2023.
  4. Tome 13 : Sang royal, page 12.
  5. 5,0 5,1 et 5,2 Tome 19 : Artémus le Légendaire, page 20.
  6. Tome 19 : Artémus le Légendaire, page 44.
  7. Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), page 158.
  8. Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), page 28.
  9. Origines : Tome 2 (Jadina), page 11 : Invidia a "offert" Baraka et Bakara à Kasino.
  10. 10,0 10,1 et 10,2 Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), pages 110 et 112.
  11. Livre d'or du 25/10/2023 : Patrick Sobral explique que ces deux dieux ont bel et bien existé et ne sont pas juste des croyances.
  12. Odyssée : Tome 2 (Le mystère de Kasimos), pages 17/18.
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